Une obligation de direction
Devant le mur d'incertitudes qui se dressent devant le téléspectateur face au pilotage à vue de la crise sanitaire actuelle certaines tendances ne souffre le malentendu. Si monsieur Salomon nous abreuve de consignes, le gouvernement quant à lui semble choisir une autre voie, enfin tout cela n'est pas très audible. Par contre ce que l'on comprend très bien c'est qu'une crise s'apprête à pointer son nez et cette crise mettra en scène avant tout le manque à gagner des entreprises. Nous allons vérifié que le mode d'activité de l'homme est à revoir dans le monde du troisième millénaire. Alors que nous étions confinés dans nos habitudes et que nous étions matraqués par une propagande qui proclamait la vieille formule que les vices privés génère le bien public, nous constatons tous avec le manque de matériel face à l'épidémie qu'il n'en est rien. Et que c'est une fois de plus à la puissance publique qu'il faudra s'en remettre pour la casse.
Or ne nous ne pouvons continuer ce cycle infernal indéfiniment, il faudra bien trouver un mode d'activité perenne qui nous permette d'établir une certaine sécurisation des citoyens. Je ne parle pas de drones de surveillance comme j'en ai vu voler vers le bâtiment de l'ENA et ni de traçage électronique des virtuelles porteurs du virus, mais de la capacité matérielle d'une nation à répondre le mieux possible à une crise telle que celle qui se déroule actuellement.
Première remarque qui me vient à l'esprit : la crise matérielle découle d'une crise d'ordre spirituelle dans le sens où c'est la dégradation de l'idée qui a été donnée de la vie en société qui a généré la situation dans laquelle nous nous trouvons en France. Si tous les pays sont touchés par le virus, il semble l'être différemment. Dans notre pays depuis existe un système de bipartisme, d'un côté les représentants officiels d'une politique raisonnable et l'autre une opposition spectaculaire et caricatural portant les stigmates des heures les plus sombres de notre histoire. C'est ce chantage moral exercé sur l'électeur qui a permis à tenant de la marchandisation du monde de maintenir leur projet.
Maintenir que nous assistons à une parenthèse de l'échange marchand et que nous redécouvrons avec les joies du confinement l'appréhension par rapport à ce qui n'est pas contrôlé, les rapports de domination sont modifiés et politiquement ce sont ceux qui ont perçu les fragilités internes de notre nation qui vont s'en sortir le mieux dans la mesure où ils ont une certaine virginité par rapport au pouvoir et donc le moins exposé à la critique.
Et c'est une monde aux libertés réduite qui leur sera livré si la logique du ressentiment par voie électorale devait avoir lieu. De l'autre côté si la voir du ressentiment électoral n'est pas choisie, il nous restera une répression menée par une équipe dont le logiciel de pensée est en fin de course.
L’alternative sérieuse à ce scénario serait une prise en main de la population des outils qui sont à sa disposition pour endiguer le chancre libéral et son discours mortifère. C'est à dire de se livrer à une sorte de socialisation des moyens d'existence en essayant de rendre démocratique tous les appareils fermés à la démocratie, c'est à dire le monde du travail.
Or ne nous ne pouvons continuer ce cycle infernal indéfiniment, il faudra bien trouver un mode d'activité perenne qui nous permette d'établir une certaine sécurisation des citoyens. Je ne parle pas de drones de surveillance comme j'en ai vu voler vers le bâtiment de l'ENA et ni de traçage électronique des virtuelles porteurs du virus, mais de la capacité matérielle d'une nation à répondre le mieux possible à une crise telle que celle qui se déroule actuellement.
Première remarque qui me vient à l'esprit : la crise matérielle découle d'une crise d'ordre spirituelle dans le sens où c'est la dégradation de l'idée qui a été donnée de la vie en société qui a généré la situation dans laquelle nous nous trouvons en France. Si tous les pays sont touchés par le virus, il semble l'être différemment. Dans notre pays depuis existe un système de bipartisme, d'un côté les représentants officiels d'une politique raisonnable et l'autre une opposition spectaculaire et caricatural portant les stigmates des heures les plus sombres de notre histoire. C'est ce chantage moral exercé sur l'électeur qui a permis à tenant de la marchandisation du monde de maintenir leur projet.
Maintenir que nous assistons à une parenthèse de l'échange marchand et que nous redécouvrons avec les joies du confinement l'appréhension par rapport à ce qui n'est pas contrôlé, les rapports de domination sont modifiés et politiquement ce sont ceux qui ont perçu les fragilités internes de notre nation qui vont s'en sortir le mieux dans la mesure où ils ont une certaine virginité par rapport au pouvoir et donc le moins exposé à la critique.
Et c'est une monde aux libertés réduite qui leur sera livré si la logique du ressentiment par voie électorale devait avoir lieu. De l'autre côté si la voir du ressentiment électoral n'est pas choisie, il nous restera une répression menée par une équipe dont le logiciel de pensée est en fin de course.
L’alternative sérieuse à ce scénario serait une prise en main de la population des outils qui sont à sa disposition pour endiguer le chancre libéral et son discours mortifère. C'est à dire de se livrer à une sorte de socialisation des moyens d'existence en essayant de rendre démocratique tous les appareils fermés à la démocratie, c'est à dire le monde du travail.
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