ARS Grand Est
Le directeur de l'ARS Grand Est a donc été limogé car il ne voyait pas de raison de remettre en question la décision de ces patrons, pour la porte-parole du gouvernement la prise de parole du directeur de l'ARS reflétait une position personnelle. Mais voyons mais c'est bien sûr, la porte-parole gouvernementale n'est pas en mesure un texte qui dirait le contraire du le
comité interministériel de la performance et de la modernisation de
l’offre de soins hospitaliers. Donc le directeur de l'ARS a agit en bon fonctionnaire en relayant la parole gouvernementale dans le texte et strictement dans le texte qui lui a été fourni. D'ailleurs ce directeur qui est proche de la retraite va réintégrer le corps de l'Inspection générale des affaires sociales.
Voilà donc la méthode de notre gouvernement, il jette en pâture des fonctionnaires loyaux pour jouer la pendule. Car ce les propos de ce fonctionnaire ne reflète que la pensée profonde de ce gouvernement, le fonctionnaire n'a pas de pensées, il exécute. Pour justifier ce limogeage notre inénarrable porte-parole gouvernementale nous raconte que "pour une bonne déclinaison des politiques, il faut de la fluidité entre l'échelon national et l'échelon local", ce que l'on peut déduire de ces propos est la chose suivante, les haut-fonctionnaires ne doivent pas trop parler des directives prises précédemment. Ils n'ont pas pris le temps de mettre une doctrine de communication destinées à la haute fonction publique visant à une bonne compréhension ou à une espèce changement de discours des sphères dirigeants face aux évènements récents.
Maintenant on peut se demander quelle sera la réalité de l'investissement donné par le gouvernement dans la santé après l'épidémie. Soyons clair, nous allons affronter une baisse de la circulation d'argent due à la baisse de la circulation de la marchandise. La dernière crise financière a été le moment où a pu émerger des génies de la performance budgétaire qui sont parvenus à programmer des suppressions de postes et des fermetures de lit dans les hôpitaux.
Alors comment vont-ils nous vendre leur supposé changement de paradigme. La réponse est d'une simplicité enfantine, il ne pourront pas changé, ils n'ont pas les capacités requises pour changer de cap. Car Emmanuel Macron n'a été mis en avant par tout un dispositif de propagande que pour continuer une politique que ne pouvait plus mener des appareils politiques usés par des décennies à se chercher des différences et à éviter la question sociale tout en continuant à consolider l'emprise de la grande finance sur l'existence de la majorité des citoyens.
Voilà donc la méthode de notre gouvernement, il jette en pâture des fonctionnaires loyaux pour jouer la pendule. Car ce les propos de ce fonctionnaire ne reflète que la pensée profonde de ce gouvernement, le fonctionnaire n'a pas de pensées, il exécute. Pour justifier ce limogeage notre inénarrable porte-parole gouvernementale nous raconte que "pour une bonne déclinaison des politiques, il faut de la fluidité entre l'échelon national et l'échelon local", ce que l'on peut déduire de ces propos est la chose suivante, les haut-fonctionnaires ne doivent pas trop parler des directives prises précédemment. Ils n'ont pas pris le temps de mettre une doctrine de communication destinées à la haute fonction publique visant à une bonne compréhension ou à une espèce changement de discours des sphères dirigeants face aux évènements récents.
Maintenant on peut se demander quelle sera la réalité de l'investissement donné par le gouvernement dans la santé après l'épidémie. Soyons clair, nous allons affronter une baisse de la circulation d'argent due à la baisse de la circulation de la marchandise. La dernière crise financière a été le moment où a pu émerger des génies de la performance budgétaire qui sont parvenus à programmer des suppressions de postes et des fermetures de lit dans les hôpitaux.
Alors comment vont-ils nous vendre leur supposé changement de paradigme. La réponse est d'une simplicité enfantine, il ne pourront pas changé, ils n'ont pas les capacités requises pour changer de cap. Car Emmanuel Macron n'a été mis en avant par tout un dispositif de propagande que pour continuer une politique que ne pouvait plus mener des appareils politiques usés par des décennies à se chercher des différences et à éviter la question sociale tout en continuant à consolider l'emprise de la grande finance sur l'existence de la majorité des citoyens.
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