La question des chiffres et l'immunité de groupe.

Il es t difficile de d'avoir une vision à peu près correcte de ce qui va se passer, par exemple lorsqu'on peut lire qu'il y a entre 5% et 10% de personnes qui ont été en contact avec le virus en France, on se dit que ce chiffre a suffit pour saturer les hôpitaux et obliger le gouvernement à s'en tenir à une stratégie de confinement qui si elle aurait réussi à limiter le nombre de décès n'en a pas moins créer un chômage massif qui est certes partiel pour l'instant mais risque de se communier en chômage longue durée.

Après on nous fait comprendre que pour atteindre l'immunité de groupe il faudrait que 70% de la population soit touchée par le virus. Qu'est-ce à dire ? Que l'on va passer de confinement en confinement durant un an par pallier de 10% pour pas que nos capacités de soins soient débordées.

Alors si l'on prend au sérieux les informations sur le nombre de la population ayant été en contact avec le virus et le chiffre fourni pour atteindre l'immunité de groupe il y a lieu de s'interroger.

Pour les personnes le plus en contact avec le virus, c'est à les soignants il faudra atteindre un peu pour avoir des chiffres fiables. En effet la médecine du travail semble avoir complètement lâché l'affaire et  le dépistage sera à l'initiative du salarié soignant qui contactera son médecin traitant qui lui prescrira un test et ainsi le soignant sera fixé sur son état selon la fiabilité du test.

On est bien loin du suivi auquel j'ai eu affaire quand nous avion eu un cas de tuberculose dans notre établissement, nous avions eu droit à un suivi radiologique et le véhicule équipé se garait à côté de notre établissement ce suivi avait duré plus d'un an.

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