Cela faisait longtemps
Oui cela faisait longtemps que je n'avais pas d'échos de grèves aux Etats-Unis par un journal comme le Monde, étant plus jeune je m'étais abonné à une feuille de chou dont le titre était Dans le monde une classe en lutte, mais maintenant le côté messianisme universel que je cultivais naguère m'est un peu passé.
Il en existe d'autres qui maintiennent leur flamme intacte, je l'ai un article un article de Badiou sur la pandémie, j'y vois des remarques frappées au coin du bon sens, mais quand je crois comprendre qu'il s'agira de profiter du confinement pour préparer la troisième vague du communisme, là mes sourcils se froncent de perplexité. Mais je suis d'accord avec lui pour penser que cette crise ne sonnera pas la fin du système d'échange qui domine actuellement. Je pense qu'il faudra d'autres événement pour les rapports sociaux se modifient dans l'optique d'un changement social qui soit plus vivable pour les travailleurs. Maintenant je n'ai qu'une vision assez flou de la chose, mais le mouvement des Gilets Jaunes nous a montrer quel était le niveau d'énergie pour supprimer une taxe de 3% sur les carburants. Je parle des inflexions gouvernementales et je ne parle des revendications déclarées de tel ou tel groupement de Gilets Jaunes, tout cela était assez hétéroclite. D'ailleurs cette diversité n'a pas plus au platonicien Badiou, je crois qu'il en veut encore aux autochtones de ne pas s'être convertis au maoïsme sous sa férule en 1968, c'est pour cela qu'il place ses espoirs dans le prolétariat migrant. Le prolétariat migrant qui n'est autre que la résultant de l'extension de l'esclavage salarié et de la concurrence libre et non faussée. C'est un peu là que je décroche avec Badiou, trop de dialectique tue la dialectique.
Maintenant je me penche vers un autre héritier du marxisme pour forger mon opinion, enfin on va dire qu'Alain Soral a largement dilapidé son héritage. Je l'écoute avac attention, mais il a tendance à m'exaspérer quand il semble connaître le patient 0 de l'épidémie et quand il relaie des textes qui tendent à faire comprendre que le Covid-19 s'est échappé d'un laboratoire à Whuan, alors le virus a entrouvert la porte que les tenants du système n'avait pas fermé à clef, il a regardé à droite et à gauche et il est parti, je simplifie un peu le sens du texte que j'ai lu sur E&R, mais c'est l'impressio qu'il me laisse.
Quand j'imagine le temps de confinement qu'il nous reste au minimum et que j'évalue généreusement jusqu'au début du mois de mai, j'ai tendance à déprimer, heureusement qu'il me reste le vélo d'appartement pour me tenir en forme. Je vais aussi en profiter pour visionner un maximum de film de Robert Altman. Je viens de regarder Le privé, c'est un bon divertissement. Mais après cela la pensée que je doive me munir d'une autorisation de sortie de confinement pour sortir prendre l'air reprend le dessus alors que le soleil m'appelle au dehors.
Il en existe d'autres qui maintiennent leur flamme intacte, je l'ai un article un article de Badiou sur la pandémie, j'y vois des remarques frappées au coin du bon sens, mais quand je crois comprendre qu'il s'agira de profiter du confinement pour préparer la troisième vague du communisme, là mes sourcils se froncent de perplexité. Mais je suis d'accord avec lui pour penser que cette crise ne sonnera pas la fin du système d'échange qui domine actuellement. Je pense qu'il faudra d'autres événement pour les rapports sociaux se modifient dans l'optique d'un changement social qui soit plus vivable pour les travailleurs. Maintenant je n'ai qu'une vision assez flou de la chose, mais le mouvement des Gilets Jaunes nous a montrer quel était le niveau d'énergie pour supprimer une taxe de 3% sur les carburants. Je parle des inflexions gouvernementales et je ne parle des revendications déclarées de tel ou tel groupement de Gilets Jaunes, tout cela était assez hétéroclite. D'ailleurs cette diversité n'a pas plus au platonicien Badiou, je crois qu'il en veut encore aux autochtones de ne pas s'être convertis au maoïsme sous sa férule en 1968, c'est pour cela qu'il place ses espoirs dans le prolétariat migrant. Le prolétariat migrant qui n'est autre que la résultant de l'extension de l'esclavage salarié et de la concurrence libre et non faussée. C'est un peu là que je décroche avec Badiou, trop de dialectique tue la dialectique.
Maintenant je me penche vers un autre héritier du marxisme pour forger mon opinion, enfin on va dire qu'Alain Soral a largement dilapidé son héritage. Je l'écoute avac attention, mais il a tendance à m'exaspérer quand il semble connaître le patient 0 de l'épidémie et quand il relaie des textes qui tendent à faire comprendre que le Covid-19 s'est échappé d'un laboratoire à Whuan, alors le virus a entrouvert la porte que les tenants du système n'avait pas fermé à clef, il a regardé à droite et à gauche et il est parti, je simplifie un peu le sens du texte que j'ai lu sur E&R, mais c'est l'impressio qu'il me laisse.
Quand j'imagine le temps de confinement qu'il nous reste au minimum et que j'évalue généreusement jusqu'au début du mois de mai, j'ai tendance à déprimer, heureusement qu'il me reste le vélo d'appartement pour me tenir en forme. Je vais aussi en profiter pour visionner un maximum de film de Robert Altman. Je viens de regarder Le privé, c'est un bon divertissement. Mais après cela la pensée que je doive me munir d'une autorisation de sortie de confinement pour sortir prendre l'air reprend le dessus alors que le soleil m'appelle au dehors.
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