Castaner le chimique danse le samedi soir après une après-midi "Gilets Jaunes "
Pendant que ses policiers sont incités à taper sur leurs concitoyens, le ministre de l'intérieur s'amuse en boîte de nuit, il me semble avoir perdu pied ou alors il se sent au-dessus du lot des hommes qu'il a sous ses ordres et qui eux payeront le prix de sa politique. Pour l'instant les policiers de la BAC n'avaient qu'une mauvaise réputation dans les cités qu'ils n'habitaient pas, maintenant on ne peut pas dire que leur cote d'amour grimpera dans la France des Gilets Jaunes, c'est à dire que leurs voisins les regardera d'un autre œil et ce ne sera pas le bon. Certes le policier aura eu un mois à entre 2500 et 4000 euros en ces temps troublés, mais l'argent ne fait pas tout.
Bref le ministre danse sur une musique de merde en souriant bêtement, une pensée sûrement émue pour les policiers qui seront sur Paris samedi. Mais qu'il le vire avec Macron, c'est le mieux qu"il puisse leur arriver.
Cette information de presse à scandale serait une manœuvre afin de presser Castaner vers la porte de sortie selon certains, mais soyons un peu lucide, l'éviction éventuelle du ministre de l'intérieur afin de cacher la responsabilité principale dans le fiasco de la crise des Gilets Jaunes sera interprétée à sa juste mesure par l'ensemble de la population, c'est à dire comme le sacrifice de la tour pour protéger le roi. Et le but dans une partie d'échec n'est pas de prendre la tour, celui qui se concentre sur la tour a bien entendu perdu d'avance.
Demain je vais remettre mon gilet au bord de l'autoroute.
Bref le ministre danse sur une musique de merde en souriant bêtement, une pensée sûrement émue pour les policiers qui seront sur Paris samedi. Mais qu'il le vire avec Macron, c'est le mieux qu"il puisse leur arriver.
Cette information de presse à scandale serait une manœuvre afin de presser Castaner vers la porte de sortie selon certains, mais soyons un peu lucide, l'éviction éventuelle du ministre de l'intérieur afin de cacher la responsabilité principale dans le fiasco de la crise des Gilets Jaunes sera interprétée à sa juste mesure par l'ensemble de la population, c'est à dire comme le sacrifice de la tour pour protéger le roi. Et le but dans une partie d'échec n'est pas de prendre la tour, celui qui se concentre sur la tour a bien entendu perdu d'avance.
Demain je vais remettre mon gilet au bord de l'autoroute.
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