la convergence vers le bas
Et pendant ce temps de discussion en discussion je tombe sur les belles âmes qui sont persuadées du bien fondé d'union économique européenne, nous verrons peut-être le fruit de nos efforts ou plutôt de vos efforts dans le prochain millénaire. Ces braves gens, forts sympathiques pour la plupart au demeurant sont confits dans la vision d'un avenir radieux européen sous l'égide du tout puissant commerce et la liberté de la marchandise.
Mais là encore les chemins sont semés d'embûches et quand ceux qui tienne à ce que la marchandise soit reine et bien se sont les intérêts marchands qui règnent, c'est tout simple et l'union européenne n'est que l'incarnation des intérêts d'argent au sein d'un espace géographique, cette institution n'a pas que peu de chose à voir avec le souhait des population.
Dons dix ans après la crise financière nous pourrions nous demander de ce qu'il en est de la convergence européenne en matière sociale. A mon humble avis, la convergence n'aura lieu qu'à partir du moment où les standards les plus hauts se rapprocheront des standards les plus bas en matière du coût du travail, c'est une tendance que regrette les sacs à merde qui sont payés pour nous vanté les bien faits de l'Europe des marchands, dans cette joyeuse troupe de propagandiste du régne de l'esclavage salarié européen nous retrouvons évidemment une partie non négligeable des confédérations syndicales européennes appointées pour des rôles de pleureuses.
"Son étude intitulée "Pourquoi l'Europe centrale et orientale a besoin d'une augmentation de salaire" publiée par la Confédération européenne des syndicats pointe du doigt les erreurs de politique économique commises après la crise qui ont abouti à relancer une concurrence sociale qui était pourtant en train de se réduire progressivement."
D'après ces braves syncalistes la concurrence sociale a repris, mais c'est le but de l'union économique européenne de stimuler la concurrence sociale au sein des populations européennes. Ce sont pas des erreurs qui ont été commises, c'est la validation des institutions européennes dans ses grandes lignes par ces syndicats qui a été une erreur.
Mais là encore les chemins sont semés d'embûches et quand ceux qui tienne à ce que la marchandise soit reine et bien se sont les intérêts marchands qui règnent, c'est tout simple et l'union européenne n'est que l'incarnation des intérêts d'argent au sein d'un espace géographique, cette institution n'a pas que peu de chose à voir avec le souhait des population.
Dons dix ans après la crise financière nous pourrions nous demander de ce qu'il en est de la convergence européenne en matière sociale. A mon humble avis, la convergence n'aura lieu qu'à partir du moment où les standards les plus hauts se rapprocheront des standards les plus bas en matière du coût du travail, c'est une tendance que regrette les sacs à merde qui sont payés pour nous vanté les bien faits de l'Europe des marchands, dans cette joyeuse troupe de propagandiste du régne de l'esclavage salarié européen nous retrouvons évidemment une partie non négligeable des confédérations syndicales européennes appointées pour des rôles de pleureuses.
"Son étude intitulée "Pourquoi l'Europe centrale et orientale a besoin d'une augmentation de salaire" publiée par la Confédération européenne des syndicats pointe du doigt les erreurs de politique économique commises après la crise qui ont abouti à relancer une concurrence sociale qui était pourtant en train de se réduire progressivement."
D'après ces braves syncalistes la concurrence sociale a repris, mais c'est le but de l'union économique européenne de stimuler la concurrence sociale au sein des populations européennes. Ce sont pas des erreurs qui ont été commises, c'est la validation des institutions européennes dans ses grandes lignes par ces syndicats qui a été une erreur.
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