Le gouvernement socialiste en action hier et aujourd'hui.
Cathédrale de Strasbourg.
« En 81 , ils arrivent au gouvernement , la sidérurgie est mal en point ! Dans un premier temps, ils garantissent l'avenir de la sidérurgie dans le valenciennois !! Et puis selon un processus bien connu, quand la droite commence à casser , eux ils achévent le sale boulot , ( alors qu'ils avaient promis le contraire dans leur campagne électorale ) … » [ Source ]
Avec en prime, sur ce blog, Wagner à la rescousse de la lutte des classes :
unimetal trith la fin par marcelmarc
Commentaires
http://www.youtube.com/watch?v=0LMFCqcylaw
Quant à la question de la nationalisation elle a paradoxalement plus à voir avec la socialisation (ou la privatisation) qu'avec la nation et sa protection (la nation là tout de suite c'est la nation des plus riches ). Exemple avec les banques :
http://www.youtube.com/watch?v=jlh8rHR5f7Y
(1) http://lesarbresdestrasbourg.blogspot.fr/2012/12/retour-sur-un-concept-vide-de-sens.html
(2)http://lesarbresdestrasbourg.blogspot.fr/2012/11/creusons-et-prenons-une-bonne-pioche.html
La suite ici :
https://bataillesocialiste.wordpress.com/2008/10/09/nationalisations-des-banques-par-temps-de-crise-financiere/
Et quand j'écris "avec la nationalisation on s'approche d'une éventuelle socialisation des moyens de production", je n'écris pas "pas la nationalisation est la socialisation des moyens de production". Il y a des nuances qui vous échappent.
Par contre de par sa nature, la nationalisation a indéniablement un caractère protectionniste .
La nationalisation en soi, ce n'est pas la panacée.
Effectivement, les banques qui ont failli ne risquent pas d'être des proies tentantes pour les actionnaires en mal de retour sur investissement, et par le biais de la nationalisation c'est le contribuable qui éponge les dettes.
La nationalisation n'est pas un outil miracle, comme les sidérurgistes lorrains ont pu le voir à partir des années 1980. C'est connu.
Sinon, elle très bien la citation d'Engels.
Mais permettez-moi de revenir sur un aspect d'une question déjà traitée sur ce blog. Engels écrit : "A maintes reprises nous avons déjà eu l'occasion de mentionner l'existence des Irlandais venus s'installer en Angleterre; nous allons maintenant examiner de plus près les causes et les effets de cette immigration.
Le rapide développement de l'industrie anglaise n'aurait pas été possible si l'Angleterre n'avait disposé d'une réserve : la population nombreuse et misérable de l'Irlande."
Source : http://www.marxists.org/francais/engels/works/1845/03/fe_18450315_4.htm
Je me demande comment interpréter cette phrase. Pourriez-vous m'aider.
Un parfait exemple ici : http://anonymouse.org/cgi-bin/anon-www.cgi/http://fr.altermedia.info/atteinte-aux-libertes/qu’attend-la-ligue-des-droits-de-lhomme-pour-trainer-engels-devant-les-tribunaux_33321.html
A vous de voir si vous voulez perpétuer la race ... Mais puisque vous aimez tant les citations en voici deux autres :
Une d'Engels : "Votre bourgeoisie sait beaucoup mieux que le gouvernement autrichien lui-même jouer une nationalité contre l'autre : Juifs, Italiens, Bohèmes, etc., contre Allemands et Irlandais, et chacun d'eux contre les autres."
Et une autre de Lénine : "Sur cette question [de l'immigration] également se fit jour en commission une tentative de soutenir d'étroites conceptions de corporation, d'interdire l'immigration d'ouvriers en provenance des pays arriérés (celle des coolies venus de Chine, etc.). C'est là le reflet de l'esprit "aristocratique" que l'on trouve chez les prolétaires de certains pays "civilisés" qui tirent certains avantages de leur situation privilégiée et qui sont pour cela enclins à oublier les impératifs de la solidarité de classe internationale. Mais au Congrès proprement dit, il ne se trouva pas d'apologistes de cette étroitesse petite-bourgeoise de corporation, et la résolution répond pleinement aux exigences de la social-démocratie révolutionnaire."
Pour la provenance, le contexte, etc. : http://fr.internationalism.org/rint140/l_immigration_et_le_mouvement_ouvrier.html
Il faut savoir, soit l'un, soit l'autre. Soit je suis seul, soit je meugle avec un gros troupeau de débiles. Maintenant je comprends pas mal de choses… A titre personnel, je ne pense pas avoir une lecture trop étriquée de ces classiques, et je suis prêt à soutenir des camarades étrangers, puisqu'eux mêmes m'ont soutenu. Mais je ne sombre dans l'angélisme pour autant en généralisant à tout va. Je suis prêt à accepter toute la complexité que vous voulez, seulement, il faut prendre la complexité dans son ensemble et non la simplifier dans un sens ou dans un autre.Par exemple:
"Lorsque la crise économique de 1866 provoqua une vague de grèves à travers toute l'Europe, le Conseil général de l'Internationale "soutint les ouvriers par ses conseils et son assistance et mobilisa la solidarité internationale du prolétariat en leur faveur. De cette façon, l'Internationale priva la classe capitaliste d'une arme très efficace et les patrons ne purent plus freiner la combativité de leurs ouvriers en important une main d'œuvre étrangère bon marché... Là où elle avait de l'influence, elle cherchait à convaincre les ouvriers que c'était dans leur intérêt de soutenir les luttes salariales de leurs camarades étrangers." 8 De même, en 1871, lorsque le mouvement pour la journée de 9 heures se développa en Grande-Bretagne, organisé par la Nine Hours League et non par les syndicats qui restèrent en dehors de la lutte, la Première Internationale lui apporta son soutien en envoyant des représentants en Belgique et au Danemark pour "empêcher les intermédiaires des patrons de recruter des briseurs de grève dans ces pays, ce qu'ils réussirent avec beaucoup de succès." 9
Pour la provenance, le contexte, etc. : http://fr.internationalism.org/rint140/l_immigration_et_le_mouvement_ouvrier.html
Mais avec tout ça, vous ne m'avez toujours pas expliqué la signification de ce petit extrait de Engels :
"A maintes reprises nous avons déjà eu l'occasion de mentionner l'existence des Irlandais venus s'installer en Angleterre; nous allons maintenant examiner de plus près les causes et les effets de cette immigration.
Le rapide développement de l'industrie anglaise n'aurait pas été possible si l'Angleterre n'avait disposé d'une réserve : la population nombreuse et misérable de l'Irlande."
Source : http://www.marxists.org/francais/engels/works/1845/03/fe_18450315_4.htm