Si vous voulez passer une bonne journée, passez cet article, il parle d'élection
Le jour est arrivé de la dislocation du parti socialiste français, mais ce qui est le plus drôle c'est la totale disqualification des primaires en tant qu'outil de désignation des candidats aux présidentielles françaises. Enfin cette fois-ci, ce processus d'accès au pouvoir a totalement dysfonctionné, ce qui aurait du dessiner le paysage du second tour risque de s'avérer un instrument peu prédictif. Il semblerait que l'outil de sélection ne soit pas taillé pour les élections françaises, peut-être qu'il sera efficient lors des prochaines élections si elles ont lieu. Mais pour l'instant, force est de constater que le candidat du parti sortant élu haut la main est lâché par tous les grands ministres qui ont été plus ou moins ses collègues.
Spectacle pitoyable certes mais qui est riche d'enseignements. Le parti de l'ancien ministre Macron et ancien employé de chez Rothschild est bien le parti de l'ancien gouvernement, même si c'est sous la piètre excuse de faire barrage au Front National, on voit bien que tout les ralliements ne font que confirmer le retour du même sous une étiquette différente.
Si le candidat Macron bénéficiait d'une relative fraîcheur, celle-ci a perdu rapidement de son éclat avec le ralliement de tout de l'équipe dirigeante précédente. En obtenant le soutien de l'ancien premier ministre et du ministre de la défense, Macron incarne parfaitement le bilan et l'action de l'ancien président.
Les nouveaux soutiens de la nouvelle figure montante ressemblent plus a des couteaux dans le dos. Si il s'agissait de décrédibiliser tout le monde, je pense que l'opération est phase de réussir. Tout les éléments se mettent en place pour nous surprendre.
Certes, je pense qu'un grand nombre d'entre nous restera à la maison le jour des élections, mais quand même, ce spectacle devient de plus en plus affligeant.
Au tabac du coin, la petite vendeuse en pinçait pour Benoît Hamon ainsi qu'une amie. C'est vrai qu'il porte bien et qu'il a l'air sympathique, mais je trouve qu'il endosse à merveille le costume du liquidateur malgré lui. Il est vrai que cela n'est pas beau de se moquer, mais quand il appelle Mélenchon à s'unir derrière son beau costume, c'est plus fort que moi, je ris. Je reconnais à Mélenchon d'avoir eu la présence d'esprit et l'intelligence d'avoir dressé un état des lieux lucides sur l'état des partis de gauche à un moment donné, il a vu qu'il y avait un espace en jachère ou plus personne ne mettait les pieds, et il a planté son petit drapeau là, ce qui fait qu'il se trouve dans la dynamique inverse de monsieur Hamont qui s'est échiné à planter sur un sol dévitalisé de longue date.
Voilà c'est fait, désolé.
Spectacle pitoyable certes mais qui est riche d'enseignements. Le parti de l'ancien ministre Macron et ancien employé de chez Rothschild est bien le parti de l'ancien gouvernement, même si c'est sous la piètre excuse de faire barrage au Front National, on voit bien que tout les ralliements ne font que confirmer le retour du même sous une étiquette différente.
Si le candidat Macron bénéficiait d'une relative fraîcheur, celle-ci a perdu rapidement de son éclat avec le ralliement de tout de l'équipe dirigeante précédente. En obtenant le soutien de l'ancien premier ministre et du ministre de la défense, Macron incarne parfaitement le bilan et l'action de l'ancien président.
Les nouveaux soutiens de la nouvelle figure montante ressemblent plus a des couteaux dans le dos. Si il s'agissait de décrédibiliser tout le monde, je pense que l'opération est phase de réussir. Tout les éléments se mettent en place pour nous surprendre.
Certes, je pense qu'un grand nombre d'entre nous restera à la maison le jour des élections, mais quand même, ce spectacle devient de plus en plus affligeant.
Au tabac du coin, la petite vendeuse en pinçait pour Benoît Hamon ainsi qu'une amie. C'est vrai qu'il porte bien et qu'il a l'air sympathique, mais je trouve qu'il endosse à merveille le costume du liquidateur malgré lui. Il est vrai que cela n'est pas beau de se moquer, mais quand il appelle Mélenchon à s'unir derrière son beau costume, c'est plus fort que moi, je ris. Je reconnais à Mélenchon d'avoir eu la présence d'esprit et l'intelligence d'avoir dressé un état des lieux lucides sur l'état des partis de gauche à un moment donné, il a vu qu'il y avait un espace en jachère ou plus personne ne mettait les pieds, et il a planté son petit drapeau là, ce qui fait qu'il se trouve dans la dynamique inverse de monsieur Hamont qui s'est échiné à planter sur un sol dévitalisé de longue date.
Voilà c'est fait, désolé.
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