troisième explosion nucléaire au Japon.




Col du Waldsberg.


"Voici pourquoi nous posons la question : souvenons-nous, le lundi 14 mars a lieu une explosion (à 11h01 heure japonaise) que nous avons tous pu voir sur nos écrans télé. Explosion bien différente de la première, sur le réacteur n°1, où de gros nuages blancs partis en tous sens traduisaient la simple destruction violente du toit du bâtiment réacteur. L’explosion du 14 mars sur l’unité n°3 s’est faite violemment et verticalement, emportant manifestement toutes sortes de débris – d’où sa couleur gris-noir. On a compris depuis que sa puissance avait été telle qu’une dalle anti-missile, située à la verticale de la cuve, avait été soulevée (l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire français l’évoque dans son point d’hier matin (1)). On a évoqué, bien sûr, une explosion hydrogène (voir blogs précédents (2)). Mais nous nous posons d’autres questions aujourd’hui, pour essayer de mieux cerner le niveau de dangerosité de ce réacteur n°3, en ce moment même." [ Source ]





"La première explosion, samedi, celle du réacteur numéro 1, est bien une détonation d’hydrogène : peu de débris, une onde de choc bien visible, peu de poussière, quelques tôles qui voltigent : c’est bien une explosion sous le hangar.

Sur le réacteur 3, l’accident a été beaucoup plus grave : je pense que le cœur a fondu, a percé le fond de la cuve en acier et c’est accumulé au fond du puits de cuve en béton.

A force de goutter au fond, le CORIUM a formé une masse critique. (on appelle « corium » la matière du cœur fondu, un mélange d’oxyde d’uranium, d’oxyde de plutonium, de produits de fission et d’acier et de zirconium) C’est ce que l’on appelle un « accident de criticité », ou « excursion nucléaire » (une petite explosion nucléaire, en fait)

Je pense que la puissance de l’explosion a pulvérisé le puits de cuve, et on voit bien les énormes morceaux de béton voltiger dans les airs sur les vidéos. Noter que le bâtiment réacteur fait près de 100 m de haut, ce qui donne l’échelle de ces morceaux de béton : la taille d’un petit bunker du mur de l’Atlantique !" [ Source ]

Commentaires

Apocalyps o
Suis-je bête ?
Le monde marche ! Pourquoi ne tournerait-il pas ?
C’est la vision des nombres. Nous allons à l’Esprit.
C’est très-certain, c’est oracle, ce que je dis.
Je comprends, et ne sachant m’expliquer sans paroles païennes, je voudrais me taire.

http://www.lejournaldepersonne.com/2011/03/apocalypso/

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