Après la tartine
Voilà que mon employeur se met Pen tête de nous tester, cela serait le médecin employé par l'entreprise qui devrait nous prescrire les ordonnances. Cela pose des soucis de confidentialité en matière d'information. Pour le dire plus clairement le principe du secret médical est aboli de fait dans ce cas. Maintenant comment il vont nous proposer la chose si jamais ils osent nous la proposer. Pour ma part j'avais déjà déclarer à mon employeur qu’un membre dema famille avait tous les signes de la maladie, donc qu'il y avait de fortes chances que je sois contagieux pour les personnes âgées, mais en tant que soignant la consigne nationale semblait être que tant que vous tenez sur vos jambes vous pouvez venir. J'ai fait le travail selon l'expression consacrée.
Il régnait une incertitude sur la prime exceptionnelle dédiée aux soignants hors secteur hospitalier . Le premier ministre a aligné la prime des salariés des maisons de retraite et d'autres structures sur le montant des hospitaliers. Si cela n'avait pas été acté durant le discours du premier ministre j'imagine la démotivation des soignants et par ricochet les conditions de vie des résidents. Cette prime n'est que cautère sur jambe de bois, et nous imaginons mal une amélioration des conditions de vie des personnes lourdement handicapées ou des personnes âgées dépendantes avec la crise de l'activité que le monde marchand vient de subir, car en premier lieu lors d'une chute de cet ordre les mesures qui sont prises par la bourgeoisie est de parer au plus pressé, c'est à dire de laisser de côté les services non productifs. La pression sera telle sur le marché de l'emploi que tous les dilemmes cornéliens qui se dresseront devant le besoin effréné d'activité qui innerve le monde marchand seront surmontés sans beaucoup de scrupules. Et de ce fait je ne m'attends pas a une quelconque amélioration sur les conditions de travail dans le monde soignant.
La perspective d'une amélioration de la situation sur ce plan ne passera sûrement pas la conservation du système actuel. Et nous avons de quelle énergie il fallait faire preuve pour abolir une simple taxe, cela vous laisse songeur quant aux sacrifices dont il va falloir faire preuve pour dégager ceux qui nous tiennent le crachoir. A entendre certains il faudrait une organisation puissante et disciplinée aille de paire avec l'agitation sociale. Or cette organisation n'existe pas, il fût un temps où la CGT ressemblait a cette organisation, maintenant elle ressemble à une outre vide. Dernièrement j'ai voulu prendre contact avec un responsable de mon syndicat, cela fait quinze jours que j'attends la réponse, en terme d'organisation on a vu mieux.
Il régnait une incertitude sur la prime exceptionnelle dédiée aux soignants hors secteur hospitalier . Le premier ministre a aligné la prime des salariés des maisons de retraite et d'autres structures sur le montant des hospitaliers. Si cela n'avait pas été acté durant le discours du premier ministre j'imagine la démotivation des soignants et par ricochet les conditions de vie des résidents. Cette prime n'est que cautère sur jambe de bois, et nous imaginons mal une amélioration des conditions de vie des personnes lourdement handicapées ou des personnes âgées dépendantes avec la crise de l'activité que le monde marchand vient de subir, car en premier lieu lors d'une chute de cet ordre les mesures qui sont prises par la bourgeoisie est de parer au plus pressé, c'est à dire de laisser de côté les services non productifs. La pression sera telle sur le marché de l'emploi que tous les dilemmes cornéliens qui se dresseront devant le besoin effréné d'activité qui innerve le monde marchand seront surmontés sans beaucoup de scrupules. Et de ce fait je ne m'attends pas a une quelconque amélioration sur les conditions de travail dans le monde soignant.
La perspective d'une amélioration de la situation sur ce plan ne passera sûrement pas la conservation du système actuel. Et nous avons de quelle énergie il fallait faire preuve pour abolir une simple taxe, cela vous laisse songeur quant aux sacrifices dont il va falloir faire preuve pour dégager ceux qui nous tiennent le crachoir. A entendre certains il faudrait une organisation puissante et disciplinée aille de paire avec l'agitation sociale. Or cette organisation n'existe pas, il fût un temps où la CGT ressemblait a cette organisation, maintenant elle ressemble à une outre vide. Dernièrement j'ai voulu prendre contact avec un responsable de mon syndicat, cela fait quinze jours que j'attends la réponse, en terme d'organisation on a vu mieux.
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