Pas de limites au marché, c'est ça le programme
Le journal suisse Le Temps a une mise en page aérée, c'est très bien fait par rapport à nos quotidiens sur écran. Ce qui me permet de tomber sur cette nouvelle :
Selon l’AFP, toute l’abrogation substantielle de la loi Dodd-Frank nécessite l’accord du Congrès, qui est acquis au président Trump. En signant les décrets présidentiels, Donald Trump a montré qu’il a l’intention de s’attaquer aux contraintes administratives. (Source)
Les États-Unis renoue avec une finance "casino". On se demande si le protectionnisme financier ne serait pas une solution par rapport à la catastrophe annoncée. C'est à dire d'éviter de frayer avec les capitaux américains et d'éviter au maximum les risques systémiques dans une certaine mesure. Dans la mesure ou la finance est un monde interconnecté et que tout est plus ou moins imbriqué, personne n'échappe à une crise générale, après il faut choisir la manière de la subir Mais là, faut-il compter sur les candidats les plus en vue pour le poste de président pour nous concocter quelque chose, je crains que non.
Que nous dit des circonstances de lélaboration de le Dood-Frank, pour mémoire : "Pour enrayer la crise systémique, les États-Unis ont lancé le plan Paulson. Le secrétaire du Trésor des États-Unis Henry Paulson a annoncé le 18 septembre 2008 que l'État américain allait mettre en place une structure de défaisance qui achètera aux institutions financières et gérera des actifs toxiques (notamment les dérivés de crédits subprime) qu'elles ont en portefeuille, annonçant un montant global d'environ 700 milliards de dollars américains. La dette nette des États-Unis passerait ainsi de 10 600 à 11 300 milliards de dollars " ( source )
«Excès de zèle»
Lors de sa campagne électorale, le candidat Trump avait clairement laissé entendre qu’il allait abroger les deux lois. «Nous croyons que la loi Dodd-Frank a été à bien des égards un excès de zèle gouvernemental», a déclaré un responsable de l’administration peu avant la signature des deux décrets. En effet, le ton était donné avec la nomination de l’investisseur activiste multimilliardaire Carl Icahn comme conseiller spécial du président dans le domaine de la régulation financière. Sa mission était de proposer les moyens pour «se débarrasser des régulations destructrices d’emplois qui freinent la croissance économique».Selon l’AFP, toute l’abrogation substantielle de la loi Dodd-Frank nécessite l’accord du Congrès, qui est acquis au président Trump. En signant les décrets présidentiels, Donald Trump a montré qu’il a l’intention de s’attaquer aux contraintes administratives. (Source)
Les États-Unis renoue avec une finance "casino". On se demande si le protectionnisme financier ne serait pas une solution par rapport à la catastrophe annoncée. C'est à dire d'éviter de frayer avec les capitaux américains et d'éviter au maximum les risques systémiques dans une certaine mesure. Dans la mesure ou la finance est un monde interconnecté et que tout est plus ou moins imbriqué, personne n'échappe à une crise générale, après il faut choisir la manière de la subir Mais là, faut-il compter sur les candidats les plus en vue pour le poste de président pour nous concocter quelque chose, je crains que non.
Que nous dit des circonstances de lélaboration de le Dood-Frank, pour mémoire : "Pour enrayer la crise systémique, les États-Unis ont lancé le plan Paulson. Le secrétaire du Trésor des États-Unis Henry Paulson a annoncé le 18 septembre 2008 que l'État américain allait mettre en place une structure de défaisance qui achètera aux institutions financières et gérera des actifs toxiques (notamment les dérivés de crédits subprime) qu'elles ont en portefeuille, annonçant un montant global d'environ 700 milliards de dollars américains. La dette nette des États-Unis passerait ainsi de 10 600 à 11 300 milliards de dollars " ( source )
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