le jeu du chamboule tout électoral
Je suis toujours surpris par le monde politique, je me demande comment des Français peuvent se passionner pour des fictions télévisées. Nous avions il y a cinq ans une élection qui sortait de la norme avec une affaire de violence sexuelle dans laquelle était impliqué un futur candidat socialiste aux élections présidentielles. Nous en étions au stade de futur candidat, il n'était que pressenti en tant que futur gagnant. La partition de l'alternance était tellement prévisible qu'il n'était guère besoin de faire appel à une personnalité charismatique pour gagner dans les urnes.
Il m'avait été donné en spectacle des luttes pour le pouvoir un peu policée dans les élections présidentielles précédentes. Dans ce cas là, nous avions à faire soit à suicide politique où à de la bêtise issue d'un sentiment d'impunité. Mais ce grand moment de campagne présidentielle suivait une présidence plus ou moins atypique où pour la première fois nous assistions à un divorce entre le président et sa femme en début de mandat. Ce dernier se remaria avec une star de la chanson doublée d'une riche héritière dans un parc d'attraction dont le thème est une souris destinée à amuser les enfants. Nous étions loin de Colombey, une nouvelle ère venait de commencer.
Et maintenant, un des principaux candidats à la présidentielle se voit accuser de payer sa femme à ne rien faire, cette absence de travail a été rémunérée par une somme dépassant le salaire chargé de trois dizaines de smicards durant un an. Et c'est le contribuable qui payait, qui paye une assistante parlementaire . Ce qui est surprenant que nous avions cru avoir à faire à des gens sérieux qui savaient gérer la fraude, même avec une expérience au plus haut de L’État il faut croire que non . On est passé à un degré supérieur dans le sens où le candidat est désigné par un vote qui a réuni plusieurs millions d'électeurs de sa sensibilité politique. Il semble peu probable que l’apôtre de la cure d'austérité puisse maintenir sa candidature.
Les enjeux sont les suivants, celui qui se retrouve face au grand épouvantail au second tours a gagné largement selon les prévisions. Quant à moi je n'irai pas voter
Il m'avait été donné en spectacle des luttes pour le pouvoir un peu policée dans les élections présidentielles précédentes. Dans ce cas là, nous avions à faire soit à suicide politique où à de la bêtise issue d'un sentiment d'impunité. Mais ce grand moment de campagne présidentielle suivait une présidence plus ou moins atypique où pour la première fois nous assistions à un divorce entre le président et sa femme en début de mandat. Ce dernier se remaria avec une star de la chanson doublée d'une riche héritière dans un parc d'attraction dont le thème est une souris destinée à amuser les enfants. Nous étions loin de Colombey, une nouvelle ère venait de commencer.
Et maintenant, un des principaux candidats à la présidentielle se voit accuser de payer sa femme à ne rien faire, cette absence de travail a été rémunérée par une somme dépassant le salaire chargé de trois dizaines de smicards durant un an. Et c'est le contribuable qui payait, qui paye une assistante parlementaire . Ce qui est surprenant que nous avions cru avoir à faire à des gens sérieux qui savaient gérer la fraude, même avec une expérience au plus haut de L’État il faut croire que non . On est passé à un degré supérieur dans le sens où le candidat est désigné par un vote qui a réuni plusieurs millions d'électeurs de sa sensibilité politique. Il semble peu probable que l’apôtre de la cure d'austérité puisse maintenir sa candidature.
Les enjeux sont les suivants, celui qui se retrouve face au grand épouvantail au second tours a gagné largement selon les prévisions. Quant à moi je n'irai pas voter
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