Critique au lance pierre




Place des Halles. [ Strasbourg ]

Je traîne au second étage du musée d'art moderne et contemporain de Strasbourg, la majeure partie des œuvres y sont dégueulasses. Seul un travail de Reinhard Mucha essaye de sauver la seconde salle du naufrage esthétique. On y voit des choses tellement laides que le passage à Buren me semble une bouffée d'oxygéne. Les panneaux de Niele Toroni dégagent une fumisterie moins pesante que dans les premières salles. Quant à Claude Rutault, il a le monochrome laborieux.

Commentaires

Articles les plus consultés