La désagrégation de l’UE… sans surprise… sans regret…
Le président de l'eurogroup nous parle, et du coup on sent une drôle d'ambiance :
"Il est très important d’un point de vue économique que nos frontières restent ouvertes, effectivement. C’est notre priorité absolue: conserver Schengen. Et j’espère que nous y parviendrons. Mais du fait précisément que toutes les charges liées à l’accueil des immigrés dans la zone Schengen sont supportées par une poignée seulement de pays, ceux-ci sont incités à fermer leurs frontières, parce qu’ils ne parviennent plus à assumer ces coûts. Il est déjà arrivé que des pays de l’UE se livrent une concurrence fiscale pour attirer les investisseurs. Ce phénomène-ci est une variante: les pays se font concurrence pour refouler les demandeurs d’asile. C’est pourquoi nous devons collaborer plus étroitement avec les 28 pays de l’UE. Et si cela ne fonctionne pas, il faut pouvoir créer un groupe plus réduit." [ source ]
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