A côté de la Syrie
Marlenheim .
Le journal le Monde nous apprend que les occidentaux s'inquiète du stock d'armes chimiques en Syrie. Peut-être que le méchant Assad pourrait s'en servir, peut-être s'en est-il déjà servi ou d'autres pourraient s'en servir? On voit le spectre des armes de destruction massive arriver dans notre petit écran. Cela fait plus d'un an que le régime Syrien résiste au fameux printemps arabe. Cela plus d'un an que Bernard-Henry Levy a embouché sa trompette de Jericho devant Damas. Grâce à lui et aux « rebelles » syriens et autres, la « démocratie » va peut-être régner sur Damas comme elle règne Actuellement sur Bagdad en ce mois de juillet :
« Au moins 37 personnes ont péri mardi en Irak dans plusieurs attentats, dont 26 lors de l'explosion d'un camion piégé dans un marché de Diwaniya, au sud de Bagdad, attaque qui "porte la marque d'al-Qaïda", selon le gouverneur de la province. Ces attaques n'ont pas été revendiquées, mais nombre d'entre elles visaient clairement la communauté chiite, majoritaire en Irak, qui s'apprête à commémorer vendredi la naissance du Mahdi, une figure centrale du chiisme.
Couvre-feu
À Diwaniya, une ville de près d'un demi-million d'habitants à 160 km au sud de Bagdad, c'est le principal marché aux légumes, en plein coeur de l'agglomération, qui a été visé par l'explosion d'un camion piégé, vers 10 h 15 locales, heure à laquelle l'affluence est à son comble. "Au moins 25 personnes ont été tuées et environ 70 autres blessées", a indiqué à l'AFP un colonel de police sous le couvert de l'anonymat. Une source hospitalière a confirmé ce bilan.
"L'explosion a provoqué une grosse boule de feu dans le ciel. Tout le monde courait dans toutes les directions", a expliqué Muslim Farhan, qui se trouvait près du lieu de l'attentat. Peu après l'attaque, les forces de sécurité ont décrété un couvre-feu dans l'ensemble de l'agglomération. "Cet attentat porte la marque d'al-Qaida, mais notre enquête se poursuit et le couvre-feu court toujours. Nous annoncerons demain (mercredi, ndlr) les résultats de notre enquête", a déclaré le gouverneur de la province de Diwaniya, Salim Hussein Alouanne, lors d'une conférence de presse à la mi-journée.
Aux petites heures du matin, quatre pèlerins chiites en chemin vers Kerbala, haut lieu de l'islam chiite, avaient péri dans l'explosion de deux voitures piégées à Freyha, à environ 110 km au sud de Bagdad, selon le colonel Ahmed al-Hasnaoui, porte-parole de la police de la province de Kerbala et une source hospitalière. Treize personnes ont été blessées. Kerbala abrite les mausolées de l'imam Hussein, petit-fils du prophète Mahomet, ainsi que celui de son demi-frère, Abbas.
Tensions interreligieuses
Les fidèles s'y rendent en masse, à trois jours des commémorations de la naissance du Mahdi, le douzième imam selon la croyance chiite. "Des groupes extrémistes tels qu'al-Qaida (...) vont sans doute s'en prendre à eux dans l'espoir d'exacerber les tensions interreligieuses", a mis en garde mardi John Drake, expert au sein d'AKE Group, une firme spécialisée dans la sécurité.
Dans la province de Diyala, au nord de la capitale irakienne, deux attaques ont fait quatre morts. Deux fils d'un membre de Sahwa, une milice anti-al-Qaida, et deux agriculteurs ont été tués, selon une source médicale et une autre au sein des forces de sécurité. À Taji, à 25 kilomètres de Bagdad, deux personnes, dont un policier, ont péri lors de l'explosion de deux bombes, selon une source au ministère de l'Intérieur. Une première bombe a détoné, puis une seconde au moment où la police arrivait sur place. Une source à l'hôpital de Kazimiya, un quartier du nord de Bagdad, a cependant assuré avoir reçu les cadavres de trois personnes.
Par ailleurs, à Touz Khourmatou, une ville située à 175 kilomètres au nord de la capitale irakienne, un engin a explosé au passage d'une patrouille de police, tuant un des agents et en blessant un autre, selon un colonel de la police de la ville et le docteur Aiden Ahmed de l'hôpital de Touz Khourmatou. Enfin, l'explosion d'une bombe placée près d'une mosquée dans un quartier majoritairement sunnite de Bagdad a fait un mort et cinq blessés, selon des sources médicales et sécuritaires.
Les violences en Irak ont considérablement diminué par rapport aux terribles années 2006 et 2007 mais demeurent courantes dans le pays en proie à une grave crise politique et à des tensions confessionnelles. » [ Source ]
Autre nouvelle du pays libéré de la dictature par les grands démocrates américains :
« Irak: 9 morts, dont des policiers et des soldats, lors de deux attaques
KIRKOUK (Irak) - Neuf personnes, dont sept membres des forces de sécurité irakiennes, ont été tuées et deux autres blessées samedi lors de deux attaques survenues dans le nord de l'Irak, a-t-on appris auprès de sources médicales et sécuritaires. L'attaque la plus meurtrière s'est produite dans la ville de Rachidiya, au nord-est de Mossoul (350 km au nord de Bagdad). Des policiers et des soldats de l'armée irakienne tenaient un point de contrôle, lorsque des inconnus ont ouvert le feu. Cinq membres des forces de sécurité, des policiers et des militaires, sont morts et deux autres ont été blessés, selon un capitaine de l'armée qui s'exprimait sous le couvert de l'anonymat. Le docteur Omar Danoun de l'hôpital de Mossoul a confirmé avoir reçu les dépouilles des cinq victimes. La région où l'attaque s'est produite est majoritairement peuplée de Turkmènes, une communauté turcophone forte de 500.000 personnes. Les Turkmènes d'Irak vivent principalement dans le nord du pays, à Mossoul, Kirkouk et Tal Afar. Ils ont été la cible de nombreuses attaques, que les autorités mettent sur le compte d'Al-Qaïda. Au sud de Mossoul, des inconnus ont ouvert le feu sur un autre point de contrôle dans le village de Hammam al-Alil, tuant deux policiers et deux civils, selon le général Mohammed al-Joubouri, de la police de la province. Les violences en Irak ont considérablement diminué par rapport aux terribles années 2006 et 2007 mais demeurent courantes dans le pays, qui est en proie à une grave crise politique et à des tensions confessionnelles. (©AFP / 14 juillet 2012 16h46) [ Source ]
On peut se demander quels sont les commanditaires de cette mystérieuse Al-Qaïda trente-six fois décapitée.
Le journal le Monde nous apprend que les occidentaux s'inquiète du stock d'armes chimiques en Syrie. Peut-être que le méchant Assad pourrait s'en servir, peut-être s'en est-il déjà servi ou d'autres pourraient s'en servir? On voit le spectre des armes de destruction massive arriver dans notre petit écran. Cela fait plus d'un an que le régime Syrien résiste au fameux printemps arabe. Cela plus d'un an que Bernard-Henry Levy a embouché sa trompette de Jericho devant Damas. Grâce à lui et aux « rebelles » syriens et autres, la « démocratie » va peut-être régner sur Damas comme elle règne Actuellement sur Bagdad en ce mois de juillet :
« Au moins 37 personnes ont péri mardi en Irak dans plusieurs attentats, dont 26 lors de l'explosion d'un camion piégé dans un marché de Diwaniya, au sud de Bagdad, attaque qui "porte la marque d'al-Qaïda", selon le gouverneur de la province. Ces attaques n'ont pas été revendiquées, mais nombre d'entre elles visaient clairement la communauté chiite, majoritaire en Irak, qui s'apprête à commémorer vendredi la naissance du Mahdi, une figure centrale du chiisme.
Couvre-feu
À Diwaniya, une ville de près d'un demi-million d'habitants à 160 km au sud de Bagdad, c'est le principal marché aux légumes, en plein coeur de l'agglomération, qui a été visé par l'explosion d'un camion piégé, vers 10 h 15 locales, heure à laquelle l'affluence est à son comble. "Au moins 25 personnes ont été tuées et environ 70 autres blessées", a indiqué à l'AFP un colonel de police sous le couvert de l'anonymat. Une source hospitalière a confirmé ce bilan.
"L'explosion a provoqué une grosse boule de feu dans le ciel. Tout le monde courait dans toutes les directions", a expliqué Muslim Farhan, qui se trouvait près du lieu de l'attentat. Peu après l'attaque, les forces de sécurité ont décrété un couvre-feu dans l'ensemble de l'agglomération. "Cet attentat porte la marque d'al-Qaida, mais notre enquête se poursuit et le couvre-feu court toujours. Nous annoncerons demain (mercredi, ndlr) les résultats de notre enquête", a déclaré le gouverneur de la province de Diwaniya, Salim Hussein Alouanne, lors d'une conférence de presse à la mi-journée.
Aux petites heures du matin, quatre pèlerins chiites en chemin vers Kerbala, haut lieu de l'islam chiite, avaient péri dans l'explosion de deux voitures piégées à Freyha, à environ 110 km au sud de Bagdad, selon le colonel Ahmed al-Hasnaoui, porte-parole de la police de la province de Kerbala et une source hospitalière. Treize personnes ont été blessées. Kerbala abrite les mausolées de l'imam Hussein, petit-fils du prophète Mahomet, ainsi que celui de son demi-frère, Abbas.
Tensions interreligieuses
Les fidèles s'y rendent en masse, à trois jours des commémorations de la naissance du Mahdi, le douzième imam selon la croyance chiite. "Des groupes extrémistes tels qu'al-Qaida (...) vont sans doute s'en prendre à eux dans l'espoir d'exacerber les tensions interreligieuses", a mis en garde mardi John Drake, expert au sein d'AKE Group, une firme spécialisée dans la sécurité.
Dans la province de Diyala, au nord de la capitale irakienne, deux attaques ont fait quatre morts. Deux fils d'un membre de Sahwa, une milice anti-al-Qaida, et deux agriculteurs ont été tués, selon une source médicale et une autre au sein des forces de sécurité. À Taji, à 25 kilomètres de Bagdad, deux personnes, dont un policier, ont péri lors de l'explosion de deux bombes, selon une source au ministère de l'Intérieur. Une première bombe a détoné, puis une seconde au moment où la police arrivait sur place. Une source à l'hôpital de Kazimiya, un quartier du nord de Bagdad, a cependant assuré avoir reçu les cadavres de trois personnes.
Par ailleurs, à Touz Khourmatou, une ville située à 175 kilomètres au nord de la capitale irakienne, un engin a explosé au passage d'une patrouille de police, tuant un des agents et en blessant un autre, selon un colonel de la police de la ville et le docteur Aiden Ahmed de l'hôpital de Touz Khourmatou. Enfin, l'explosion d'une bombe placée près d'une mosquée dans un quartier majoritairement sunnite de Bagdad a fait un mort et cinq blessés, selon des sources médicales et sécuritaires.
Les violences en Irak ont considérablement diminué par rapport aux terribles années 2006 et 2007 mais demeurent courantes dans le pays en proie à une grave crise politique et à des tensions confessionnelles. » [ Source ]
Autre nouvelle du pays libéré de la dictature par les grands démocrates américains :
« Irak: 9 morts, dont des policiers et des soldats, lors de deux attaques
KIRKOUK (Irak) - Neuf personnes, dont sept membres des forces de sécurité irakiennes, ont été tuées et deux autres blessées samedi lors de deux attaques survenues dans le nord de l'Irak, a-t-on appris auprès de sources médicales et sécuritaires. L'attaque la plus meurtrière s'est produite dans la ville de Rachidiya, au nord-est de Mossoul (350 km au nord de Bagdad). Des policiers et des soldats de l'armée irakienne tenaient un point de contrôle, lorsque des inconnus ont ouvert le feu. Cinq membres des forces de sécurité, des policiers et des militaires, sont morts et deux autres ont été blessés, selon un capitaine de l'armée qui s'exprimait sous le couvert de l'anonymat. Le docteur Omar Danoun de l'hôpital de Mossoul a confirmé avoir reçu les dépouilles des cinq victimes. La région où l'attaque s'est produite est majoritairement peuplée de Turkmènes, une communauté turcophone forte de 500.000 personnes. Les Turkmènes d'Irak vivent principalement dans le nord du pays, à Mossoul, Kirkouk et Tal Afar. Ils ont été la cible de nombreuses attaques, que les autorités mettent sur le compte d'Al-Qaïda. Au sud de Mossoul, des inconnus ont ouvert le feu sur un autre point de contrôle dans le village de Hammam al-Alil, tuant deux policiers et deux civils, selon le général Mohammed al-Joubouri, de la police de la province. Les violences en Irak ont considérablement diminué par rapport aux terribles années 2006 et 2007 mais demeurent courantes dans le pays, qui est en proie à une grave crise politique et à des tensions confessionnelles. (©AFP / 14 juillet 2012 16h46) [ Source ]
On peut se demander quels sont les commanditaires de cette mystérieuse Al-Qaïda trente-six fois décapitée.
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