Portrait d'un « libertaire » par lui-même.










Les normes du sens commun laisse prévoir que les énormes excès commis jusqu'à présent seront suivis d'une grande fatigue.

Jacob Burckhardt - Considérations sur l'histoire universelle.







Je me demandais à quoi pouvait ressembler les brillants militants antifascistes qui s'intéressent ma à modeste personne. Ils ont tout l'air de ressembler aux curieux personnages qui peuplent le récit d'une étrange affaire narrée par d'autres antifascistes. Dans cette histoire,nous voyons à l'œuvre toute les qualités de discernement et d'intelligence pratique dont certains groupuscules gauchistes sont capables. Mais le plus impressionnant dans ce haut fait de l' antifascisme, c'est la participation « intellectuelle » d'un professeur de philosophie à la retraite adepte du « vivre ensemble », on est saisi par sa puissance d'analyse. Mais place à la verve « libertaire » qui se lance à l'assaut des forces du mal :


« Je précise ma pensée: pour moi inviter les gens du « Molodoï », du « Mimir » et de « Si c’était ma terre » à discuter entre eux, c’est simplement leurs faire comprendre qu’ils faut qu’ils prennent eux-mêmes la décision d’annuler les soirées, de virer le zigoto d’Activeast et ses potes identitaires de le Dissidence française, voir de pondre un texte avec une position politique très claire…
C’est pas un choix, c’est juste un conseil avant les problèmes. Si les gens pensent que les choses vont se tasser, ils se trompent. Il ne s’agissait pas pour moi de dire qu’il faut attendre le 27 octobre et faire une action bidon à la soirée. Il est hors de question de tomber dans l’urgence.
La situation doit être réglée par les personnes concernées avant le 27 octobre, sinon là oui la violence sera posée comme solution.
Si certain(e)s ont dans l’idée de faire venir des vigiles, des copain(e)s ou des flics pour permettre la soirée du 27 octobre, alors c’est une très mauvaise idée. Je pense que la violence des hommes et des femmes peut vite monter et devenir très vite incontrôlable avant ou après la soirée…C’est aussi le risque pour ces lieux « alternatifs » de disparaitre.
Si les gens sont obligés de passer par la force pour être protégés des identitaires, peut-être cela est-il devenu un « mal nécessaire » à la survie du mouvement social que ces lieux disparaissent?
Enfin, vu la campagne de presse des associations, des journaleux, des organisations antifa et d’extrême gauche qui risque de se pointer très vite à l’horizon, je pense que les gens qui organisent les soirées n’ont pas saisi le problème dans son ensemble, ou alors ils veulent saboter la vie des lieux alternatifs.
En juin dernier, les gens de Riposte Laïc et du Bloc Identitaire ont été très sensés. Ils ont évité la confrontation directe à Strasbourg (le communiqué de presse de ces crétins est très explicite sur les raisons de l’annulation de la « visite » au FEC).
Aux organisateurs de la soirée du 27 octobre et des suivantes de prendre la bonne décision collective! »
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