La vieille rengaine
J'ai revu une conférence de Jean-Claude Michéa où était mis en avant la pensée prémonitoire de notre président actuel, monsieur Macron avec quelques associés vantaient dans le rapport Sarkozy -Attali les politiques de l'Italie, l'Espagne, le Portugal et la Grèce en 2010 : " L’Italie, le Portugal, la Grèce et plusieurs nouveaux États membres ont eux aussi mené des réformes courageuses, pour contrôler leurs dépenses publiques, moderniser leur administration, et mieux recruter leurs agents publics. L’Espagne a œuvré pour l’accès de tous à la propriété du logement, dans une économie en quasi plein-emploi."
Mais voilà, la crise des prêts hypotécaires à risque est passée par là et l'on voit tout le bénéfice que l'Espagne a su retirer de sa bulle immobilière. Quant au risque on se demande ce qu'ils entendaient par risque quand ils écrivaient dans ce fameux rapport "préférer le risque à la rente", on voit où nous on mener ces fameux risques, et à qui ils profitent avant tout. Je suppose que c'était prendre des riques avec le travail d'autrui si on lit bien entre les lignes.
Ce sont encore ces aides de l'activité bourgeoise qui nous font la morale sur notre vie future, c'est un métier qui n'est pas facile je le concède, mais ils demandent à ce qu'on les prenne au sérieux dans leur argumentation.
Là où cela devient très énervant et franchement insultant c'est quand des syndicalistes s'épanchent un peu trop, j'ai pour exemple un responsable de l'UNSA qui reprochait a certains autres syndicats de ne pas écouter le gouvernement pour sa fameuse réforme des retraites, il reprochait à d'autres syndicats d'envoyer les salariés dans le mur. Moi j'ai le sentiment que ce monsieur de l'UNSA me pousse vers le gouffre, il est facile de parler quant on est un représentant syndical est détaché de son activité salariale. Une déléguée syndicale d'une association qui a plus de mille salariés ne se rend que six jours par mois à son poste de travail et elle ne passe pas à la télévision. Je n'ose imaginer l'emploi du temps de ce syndicaliste de l'UNSA.
J'ai entendu aussi que le fait de supprimer provisoirement une chose avant sa mise en place était considéré comme une victoire pour la CFDT. Ces imbéciles vont nous faire croire que le gouvernement et les suivants vont s'arrêter en si bon chemin. Depuis mon entrée dans le monde du travail les réformes de merde se suivent et la CFDT crie victoire. Toute cela est une vieille chanson mais hélas toujours d'actualité.
Mais voilà, la crise des prêts hypotécaires à risque est passée par là et l'on voit tout le bénéfice que l'Espagne a su retirer de sa bulle immobilière. Quant au risque on se demande ce qu'ils entendaient par risque quand ils écrivaient dans ce fameux rapport "préférer le risque à la rente", on voit où nous on mener ces fameux risques, et à qui ils profitent avant tout. Je suppose que c'était prendre des riques avec le travail d'autrui si on lit bien entre les lignes.
Ce sont encore ces aides de l'activité bourgeoise qui nous font la morale sur notre vie future, c'est un métier qui n'est pas facile je le concède, mais ils demandent à ce qu'on les prenne au sérieux dans leur argumentation.
Là où cela devient très énervant et franchement insultant c'est quand des syndicalistes s'épanchent un peu trop, j'ai pour exemple un responsable de l'UNSA qui reprochait a certains autres syndicats de ne pas écouter le gouvernement pour sa fameuse réforme des retraites, il reprochait à d'autres syndicats d'envoyer les salariés dans le mur. Moi j'ai le sentiment que ce monsieur de l'UNSA me pousse vers le gouffre, il est facile de parler quant on est un représentant syndical est détaché de son activité salariale. Une déléguée syndicale d'une association qui a plus de mille salariés ne se rend que six jours par mois à son poste de travail et elle ne passe pas à la télévision. Je n'ose imaginer l'emploi du temps de ce syndicaliste de l'UNSA.
J'ai entendu aussi que le fait de supprimer provisoirement une chose avant sa mise en place était considéré comme une victoire pour la CFDT. Ces imbéciles vont nous faire croire que le gouvernement et les suivants vont s'arrêter en si bon chemin. Depuis mon entrée dans le monde du travail les réformes de merde se suivent et la CFDT crie victoire. Toute cela est une vieille chanson mais hélas toujours d'actualité.
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