L'homme qui va sauver la France en fin d'année
L'image que donne le gouvernement de la France tend à laisser apparaître le pouvoir en fin de course, c'est à dire que nous avons une vision d'incompétence totale au sommet de L’État. Pour parachever le tout, voilà que de bien curieux conseillers se font jour, ainsi l'inépuisable Alexandre Benalla nous explique qu'après avoir été licencié il est toujours conseiller du prince :
On se souvient aussi d'un président souhaitant un bon réveillon de Noël en direct du Tchad nous rappelant que si nous passons de bonnes fêtes en toute tranquillité c'est grâce aux forces armées qui luttent contre le terrorisme en Afrique. Il nous annonce la chose avec un sourire un peu figé alors que que plus d'une semaine auparavant un attentat avait eu lieu dans une des villes les plus surveillées de France. Et cet attentat s'est déroulé dans des circonstances qui sont matière à un questionnement sérieux quant à l'efficacité du système de protection des civils dans un contexte terroriste.
Les forces de l'ordre était capable de trouver des armes par destination dans les coffres des Gilets Jaunes, c'est à dire des boules de pétanques. Le pouvoir enferme durant 24 heures Julien Coupat, un homme déjà victime de bidonnage policier, bon il n'est pas le seul ce jour là à être gardé à vue, ils étaient plus de cinq cents dans ce cas. Ici nous en restons dans la gestion policière des événements.
Une partie qui ne prête pas vraiment à sourire.
Dans un autre registre pour le moins hallucinant nous avons une vue des coulisses du pouvoir qui est édifiante. Ainsi pour la récupération des passeports diplomatiques de monsieur Benalla qui avait laisser ces papiers dans les bureaux du palais présidentielles une collaboratrice du président nous signale : « Si on avait pu récupérer ces passeports d’un claquement de doigts, on l’aurait fait ! s’agace une collaboratrice. Mais il y a des procédures, des étapes pour récupérer ce genre de documents quand ils ne sont pas remis par leur détenteur. Nous sommes encore dans un état de droit. »
C'est intéressant comme réponse sachant qu'il s'agit en fait de monsieur Benalla qui a usurpé la fonction de policier. ensuite pour un avoir un point de vue un peu plus global de la déconfiture dans laquelle nous sommes, certains mettent la responsabilité des dysfonctionnements du palais présidentiel dans l'affaire Benalla par un manque d'organisation des ces services mêmes. C'est inquiétant puisque c'est l'entourage du personnage le plus important de de L’État. Mieux encore ces services sont en cours de restructuration : . « Une organisation de cette nature-là, avec autant de personnes concernées, c’est entre un à deux ans », explique l’entourage du chef de l’État.
Deux ans pour réorganiser un service de 850 personnes, mais on se fout de notre gueule, dire que notre président se propose de réformer un pays de plus soixante millions d'individus en cinq ans et qu'il n'est même pas capable d'avoir un service personnel compétent, mais qu'il dégage.
Le directeur de communication de monsieur Macron était directeur général adjoint de Pôle emploi, c'est un signe.
« J’aurais pu claquer la porte et passer à autre chose. Mais on continue à me solliciter, alors je continue à répondre. (…) Cela
dérange un certain nombre de personnes, qui sont puissantes et qui font
comme si le président était sous curatelle. Ils lui font faire des
conneries phénoménales. » ( source )
On se souvient aussi d'un président souhaitant un bon réveillon de Noël en direct du Tchad nous rappelant que si nous passons de bonnes fêtes en toute tranquillité c'est grâce aux forces armées qui luttent contre le terrorisme en Afrique. Il nous annonce la chose avec un sourire un peu figé alors que que plus d'une semaine auparavant un attentat avait eu lieu dans une des villes les plus surveillées de France. Et cet attentat s'est déroulé dans des circonstances qui sont matière à un questionnement sérieux quant à l'efficacité du système de protection des civils dans un contexte terroriste.
Les forces de l'ordre était capable de trouver des armes par destination dans les coffres des Gilets Jaunes, c'est à dire des boules de pétanques. Le pouvoir enferme durant 24 heures Julien Coupat, un homme déjà victime de bidonnage policier, bon il n'est pas le seul ce jour là à être gardé à vue, ils étaient plus de cinq cents dans ce cas. Ici nous en restons dans la gestion policière des événements.
Une partie qui ne prête pas vraiment à sourire.
Dans un autre registre pour le moins hallucinant nous avons une vue des coulisses du pouvoir qui est édifiante. Ainsi pour la récupération des passeports diplomatiques de monsieur Benalla qui avait laisser ces papiers dans les bureaux du palais présidentielles une collaboratrice du président nous signale : « Si on avait pu récupérer ces passeports d’un claquement de doigts, on l’aurait fait ! s’agace une collaboratrice. Mais il y a des procédures, des étapes pour récupérer ce genre de documents quand ils ne sont pas remis par leur détenteur. Nous sommes encore dans un état de droit. »
C'est intéressant comme réponse sachant qu'il s'agit en fait de monsieur Benalla qui a usurpé la fonction de policier. ensuite pour un avoir un point de vue un peu plus global de la déconfiture dans laquelle nous sommes, certains mettent la responsabilité des dysfonctionnements du palais présidentiel dans l'affaire Benalla par un manque d'organisation des ces services mêmes. C'est inquiétant puisque c'est l'entourage du personnage le plus important de de L’État. Mieux encore ces services sont en cours de restructuration : . « Une organisation de cette nature-là, avec autant de personnes concernées, c’est entre un à deux ans », explique l’entourage du chef de l’État.
Deux ans pour réorganiser un service de 850 personnes, mais on se fout de notre gueule, dire que notre président se propose de réformer un pays de plus soixante millions d'individus en cinq ans et qu'il n'est même pas capable d'avoir un service personnel compétent, mais qu'il dégage.
Le directeur de communication de monsieur Macron était directeur général adjoint de Pôle emploi, c'est un signe.
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