Un nouveau trou d'air dans les espérances de gain venant de Chine
Vue de la colline de Mittelhausbergen
Dans cet article il semblerait qu'une amélioration sur le plan financier des états soit complètement illusoire et qu'en plus qu'on ne connaisse pas les véritables chiffres d'argent en jeu, ce qui en matière d'économétrie est peu gênant. En réalité, il est fort possible que l'on ne sache pas vraiment quelles sommes d'argent circulent véritablement entre les banques, ce qui fait que les économistes soient contraint à juger suivant des critères subjectifs au lieu de mesurer selon des données objectives, ennuyeux n'est-ce pas :
"Il faut remonter à 2008 pour trouver une telle chute boursière mondiale. Hier, elle était accompagnée de mouvements massifs sur les marchés des matières premières et des changes. Sur celui des actions, elle avait débuté sur les Bourses asiatiques avant de se propager aux États-Unis, puis en Europe. Cette nuit, la Bourse de Shanghai a encore dévissé, puis Tokyo a chuté à nouveau, et ce matin les bourses européennes ne récupéraient que partiellement leurs pertes de la veille.
Ce brutal et massif mouvement de retrait traduit la profonde inquiétude des investisseurs. Disposant d’énormes quantités de liquidités – on parle de 20.000 milliards de dollars flottants – en raison notamment des injections massives de liquidités des banques centrales, ceux-ci se sentent vulnérables devant la perspective d’une possible récession mondiale, en raison d’une forte baisse de la croissance chinoise que l’on ne sait même pas chiffrer." [ Source]
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