Supprimons le parlement européen

Il semblerait que tout soit décrit dans un  petit chapitre de la Tribune. La mise au pas de la Grèce n'est pas une nécessité, même dans les cercles réputés sérieux on juge le plan des créanciers irréaliste. Avec le temps, le sentiment se renforce que la Grèce n'est que le laboratoire de la classe bourgeoise en Europe. Certains pourrait penser que mauvais traitement infligé au peuple grec n' est que le fruit de la pensée d'immondes technocrates cachés sous des bureaux quelques part à Bruxelles. Hélas non, Monsieur Junker, le président de la grosse commission européenne est désigné par les joyeux chefs de gouvernements de toute l'union européenne et ensuite son intronisation est validée par le parlement européen. dire qu'il existe encore des gauchistes qui pensent l'union européenne est une bonne chose mais qu'il faudrait plus de gentils politiciens pour faire l'Europe. Hé bien non, l'union européenne est irréformable et toute action pour sa survie est un acte contre tous les travailleurs européens :


"Le plan des créanciers est donc clairement un plan « politique. » Il entend maintenir une stratégie qui a échoué pour pouvoir mettre à genoux politiquement le gouvernement grec effacer le vote grec contre l'austérité du 25 janvier. Aucune logique économique ne peut réellement soutenir un tel plan. Même la volonté de « prendre des garanties » pour le remboursement futur des dettes ne tient pas. L'affaiblissement de la croissance grecque ne peut en aucun cas constituer une quelconque garantie. Les deux restructurations de 2011 et 2012 le prouvent. De surcroît, on a vu qu'Alexis Tsipras acceptait des concessions qu'il a, lui-même, qualifié de « douloureuses » (on pourrait aussi évoquer l'acceptation d'une partie des privatisations). Les créanciers ont déjà obtenu beaucoup et Alexis Tsipras aura déjà bien du mal à redresser le pays avec ces concessions. "[ source ]

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