Marasme






L'arbre derrière la fenêtre, krutenau . [ Strasbourg ]



Je suis en admiration devant les personnes qui plongent en pensée profonde quotidiennement. Actuellement j'échoue, et le cadavre de mes pensées avortées ne parvient même pas jusqu'à mon clavier. Ce qu'il y a de désespérant aujourd'hui, ce n'est pas l'annonce de la crise de l'esclavage salarié à venir, c'est la permanence des mêmes tristes figures aux commandes de la réforme. Pour ne vexer personne, j'inclus l'ensemble du personnel politique et syndical dans ce défilé de sales tronches.

Commentaires

Articles les plus consultés