L'implacable revanche du réel
Voilà que notre président déclare l'Otan en état de mort cérébrale, il était clair que la réintégration de la France dans l'OTAN sous la présidence du nain Nicolas était déjà une mise sous tutelle de la politique étrangère de la France. Pour ceux qui se souviennent de la visite du président Obama à Strasbourg pour l'occasion ce fût déjà une petite catastrophe au niveau local.
Mais maintenant que des acteurs de l'Otan comme les Etats-Unis et la Turquie se mettent à mettre en pièce l'argument majeur de la participation modeste de la France au conflit syrien, l'argument était de dire que La France soutenait des forces démocratiques contre le tyran Assad et et l'organisation Etat Islamique. Je ne vais pas revenir sur la genèse du conflit syrien mais tout le monde sait que ce n'était l'amour de la liberté qui a amené les forces américaines sur le territoire syrien, tout le monde sait que la révolte populaire a rapidement laissé place un conflit géostratégiques et avec des interventions armées des grandes puissances, tout le monde le savait sauf les crétins de l'extrême gauche du capital.
Ce qui s'est passé en Syrie est un véritable camouflet pour la politique étrangère française, et là encore tout le monde le sait. Non seulement Macron a essuyé la contestation populaire la plus violente contre un président en France depuis cinquante ans mais il a subit une gifle diplomatique des plus cinglante, Donald Trump et Erdogan se sont essuyés les pieds sur la figure de BHL et de Caroline Fourest et sur le soutien aux forces démocratiques présentes en Syrie.
Alors évidemment le constat est amer et on ne peut le taire sous peine de descendre encore plus bas, apparemment c'est un palier que Macron ne veut pas franchir. Ou plutôt il essaye de se sortir de cette ornière devant le jugement de l'histoire. Et la question est "que faire maintenant?". Il pense encore à une défense européenne, mais que signifie une défense européenne avec une Turquie qui est encore candidate pour rejoindre l'Union Européenne, tout le monde rigole. Madame Merckel pense que Macron a tenu des propos radicaux, il faut penser que nos voisins allemands ne sont pas vraiment emballés par le projet de défense européenne porté par Macron. Le président qui a officié sous les Giles Jaunes pense que l'OTAN n'est plus qu'un projet commercial et que la France n'a pas signé pour une chose pareille. Mais qu'est-ce que l'Union Européenne, c'est un projet commercial avant tout et les populations incluses dans cette union n'ont pas signé pour être livrées aux marchands. Que l'on songe au démantèlement des entreprises publiques française pour répondre au "projet" européen et l'on aura une petite idée de quoi "l'Europe" est le nom. Petite parenthèse car j'ai appris Marine Le Pen ne voulait plus sortir de la monnaie commune et l'union commerciale, et bien elle n'a pas trop saisi d'où venait le vent.
Voilà Macron a été obligé de parler et ce qui vaut de l'Otan vaut aussi pour l'Union Européenne.
Mais maintenant que des acteurs de l'Otan comme les Etats-Unis et la Turquie se mettent à mettre en pièce l'argument majeur de la participation modeste de la France au conflit syrien, l'argument était de dire que La France soutenait des forces démocratiques contre le tyran Assad et et l'organisation Etat Islamique. Je ne vais pas revenir sur la genèse du conflit syrien mais tout le monde sait que ce n'était l'amour de la liberté qui a amené les forces américaines sur le territoire syrien, tout le monde sait que la révolte populaire a rapidement laissé place un conflit géostratégiques et avec des interventions armées des grandes puissances, tout le monde le savait sauf les crétins de l'extrême gauche du capital.
Ce qui s'est passé en Syrie est un véritable camouflet pour la politique étrangère française, et là encore tout le monde le sait. Non seulement Macron a essuyé la contestation populaire la plus violente contre un président en France depuis cinquante ans mais il a subit une gifle diplomatique des plus cinglante, Donald Trump et Erdogan se sont essuyés les pieds sur la figure de BHL et de Caroline Fourest et sur le soutien aux forces démocratiques présentes en Syrie.
Alors évidemment le constat est amer et on ne peut le taire sous peine de descendre encore plus bas, apparemment c'est un palier que Macron ne veut pas franchir. Ou plutôt il essaye de se sortir de cette ornière devant le jugement de l'histoire. Et la question est "que faire maintenant?". Il pense encore à une défense européenne, mais que signifie une défense européenne avec une Turquie qui est encore candidate pour rejoindre l'Union Européenne, tout le monde rigole. Madame Merckel pense que Macron a tenu des propos radicaux, il faut penser que nos voisins allemands ne sont pas vraiment emballés par le projet de défense européenne porté par Macron. Le président qui a officié sous les Giles Jaunes pense que l'OTAN n'est plus qu'un projet commercial et que la France n'a pas signé pour une chose pareille. Mais qu'est-ce que l'Union Européenne, c'est un projet commercial avant tout et les populations incluses dans cette union n'ont pas signé pour être livrées aux marchands. Que l'on songe au démantèlement des entreprises publiques française pour répondre au "projet" européen et l'on aura une petite idée de quoi "l'Europe" est le nom. Petite parenthèse car j'ai appris Marine Le Pen ne voulait plus sortir de la monnaie commune et l'union commerciale, et bien elle n'a pas trop saisi d'où venait le vent.
Voilà Macron a été obligé de parler et ce qui vaut de l'Otan vaut aussi pour l'Union Européenne.
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