La sortie
Plage de Berck
Avant on sentait que même chez les gens de gauche à gauche de la gauche étaient un peu réticents quant à une sortie de l'Euro. Une peur panique contre tout ce qui peut se présenter comme une solution d'ordre nationale, comme en témoigne un article datant de février 2014 :
« Un point fait justement consensus entre les critiques de Lordon et a toujours été souligné par le NPA : une sortie de l’euro ne garantit en rien une politique progressiste »
Pourtant c'est bien c'est bien la sortie de l'euro que nous propose la gauche de Syriza face aux exigences de ses " partenaires " européens "après le référendum de Juillet 2015. Certes la sortie de l'euro ne garantit pas une politique progressiste nous diraient nos anticapitalistes attitrés, mais Lordon pose le problème autrement :
« 1. L’euro interdit radicalement toute politique progressiste possible.»
Vu sous cet angle c'est plus clair et et le temps ne fait rien pour arranger l'affaire.
Avant on sentait que même chez les gens de gauche à gauche de la gauche étaient un peu réticents quant à une sortie de l'Euro. Une peur panique contre tout ce qui peut se présenter comme une solution d'ordre nationale, comme en témoigne un article datant de février 2014 :
« Un point fait justement consensus entre les critiques de Lordon et a toujours été souligné par le NPA : une sortie de l’euro ne garantit en rien une politique progressiste »
Pourtant c'est bien c'est bien la sortie de l'euro que nous propose la gauche de Syriza face aux exigences de ses " partenaires " européens "après le référendum de Juillet 2015. Certes la sortie de l'euro ne garantit pas une politique progressiste nous diraient nos anticapitalistes attitrés, mais Lordon pose le problème autrement :
« 1. L’euro interdit radicalement toute politique progressiste possible.»
Vu sous cet angle c'est plus clair et et le temps ne fait rien pour arranger l'affaire.
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