Pendant les retombées de la crise financière, la grande braderie du bien public continue.



Bischoffsheim










Le ministre du redressement productif aurait laisser entendre que l’Etat pourrait céder une partie de ses participations dans les entreprises. IL semblerait que livrer le bien commun à l'anomie des marchés soit une solution toute trouvée pour ce socialiste. On remarquera que l'action EDF/GDF a fait un petit bond dans un CAC 40 atone peu après l'annonce. C'est donc le processus de privatisation qui va continuer de plus belle, de plus dans le secteur de l'énergie, une manne pour les intérêts privés, un asservissement de plus pour les citoyens.


 « Parmi les importantes participations publiques (directes et indirectes), on compte des parts très majoritaires dans EDF (84,4%) ou Areva (87%) ainsi que des participations minoritaires dans France Télécom (27%), Air France-KLM (15,9%), GDF Suez (36%), Thales (27,1%), EADS (15%) ou encore Renault (15%). Selon un responsable français cité sous couvert de l'anonymat par le Wall Street Journal, vendre une partie de la participation dans EDF serait "le choix évident".» [ Source ]

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