Ils nous méprisent, mais d'une force…
Monsieur Moscouvichy met les Français en garde, il faudra réduire le déficit et donc faire les réformes qui s'imposent :
"Il est indispensable que le déficit se réduise à un rythme prévu par les règles européennes, c'est-à-dire de 0,5 point de PIB" par an, a expliqué le commissaire en référence au déficit dit "structurel" c'est-à-dire relevant de la seule volonté politique sans éléments conjoncturels extérieurs. Sur ce point, a-t-il estimé, le gouvernement français a "bien avancé", mais, a-t-il insisté, "il ne peut pas y avoir de dérogation aux règles".
Et dire que cela a été ministre en France et que ça dégueule le mot démocratie toutes les cinq secondes quand il le faut. Remarquons que pour Lagarde, c'est à près la même chose.
"Il est indispensable que le déficit se réduise à un rythme prévu par les règles européennes, c'est-à-dire de 0,5 point de PIB" par an, a expliqué le commissaire en référence au déficit dit "structurel" c'est-à-dire relevant de la seule volonté politique sans éléments conjoncturels extérieurs. Sur ce point, a-t-il estimé, le gouvernement français a "bien avancé", mais, a-t-il insisté, "il ne peut pas y avoir de dérogation aux règles".
Et dire que cela a été ministre en France et que ça dégueule le mot démocratie toutes les cinq secondes quand il le faut. Remarquons que pour Lagarde, c'est à près la même chose.
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